
Spot de Teahupoo sur Tahiti Iti
Nos quelques jours sur l’île principale de la Polynésie française, Tahiti, touchent à leur fin. Demain départ pour l’île de Huahine.
Après un sacré jetlag (12 heures de décalage horaire), nous avons pu découvrir des personnes très accueillantes et chaleureuses. Que ce soit les commerçants, les personnes dans la rue qui nous saluent sans réelle raison ou encore Andrea, une femme qui nous a pris en stop et qui nous a proposé de nous faire visiter l’île à la fin du mois lors de notre retour sur Tahiti.
Le dépaysement va du paysage tropical, de l’eau transparente jusqu’aux transports en commun. Nous nous sommes en effet risqués à prendre les bus locaux. Ici ni horaires ni assurance de fin de service. Autrement dit, non seulement on ne sait pas à quelle heure le bus passera, mais on ne sait pas s’il y aura encore des bus au moment de notre retour. La porte avant du bus reste en permanence ouverte pour cueillir des gens au passage et les locaux disent au chauffeur quand ils veulent descendre.. même s’il ne s’agit pas d’un arrêt officiel.
Sinon beaucoup de personnes tatouées, de 4×4 et de fleurs dans les cheveux.
Tahiti n’est pas la Polynésie que l’on imagine sur les cartes postales car bien que les côtes soient habitées, tout le centre de l’île est montagneux et tropical. Malheureusement, impossible de s’y aventurer sans guide car aucune route n’y passe.
Aujourd’hui, nous avons loué une voiture qui nous a permis de nous rendre à Teahupoo, spot de surf mondialement connu et redouté. Nous avons d’ailleurs pris un petit bateau afin d’aller voir la vague de plus près. Aujourd’hui elle ne dépassait pas les 3m alors qu’elle peut paraît-il aller jusqu’à 14m, mais nous avons tout de même pu sentir le climat et croiser des surfeurs tahitiens tels que Matahi Drollet.

Vague de Teahupoo

Vue de Tahiti Iti depuis le large